A B C D É F G H I J L M Œ O P Q R S T U V W Z

ERN BAXTER

UN GUIDE – E14.10.1962 JEFFERSONVILLE, IN, USA

8       Et, bon, il arrive bien souvent que ceux qui sont malades et affligés viennent, et, au cours de ces réunions, des cas qui nécessitent des visions, et ils viennent pour des entretiens particuliers. Si je m’engage là-dedans, ensuite je–je n’arrive plus à faire la distinction entre les deux, et, vous savez, c’est difficile pour moi de prêcher après ça. Tout le monde est au courant que, pendant nos campagnes de guérison, d’habitude c’est M. Baxter ou quelqu’un d’autre qui prêche, et moi je sors pour prier pour les malades, parce que ce serait un peu trop épuisant. J’ai prié pour des gens il y a quelques instants, et j’ai aussi rencontré un petit enfant, là, que les médecins… il avait quelque chose au dos, c’est de naissance. En sortant, je l’ai vu assis là, il est plâtré. Cet enfant n’aura plus jamais à être infirme comme ça, il va se rétablir. C’est sûr, voyez-vous. Ça, je le sais. Voyez-vous, j’en suis certain. Alors, nous voulons avoir la foi et croire en Dieu.

 

LA STATURE D’UN HOMME PARFAIT – M14.10.1962 JEFFERSONVILLE, IN, USA

7       J’ai compris qu’ils avaient ici de bons chants, et je n’ai pas l’occasion de les entendre. Et, ce soir, je vais essayer de venir ici. Ma femme m’a parlé d’un frère Ungren (je crois que c’est ainsi qu’il s’appelle) qui vient du Tennessee. Il était ici hier soir. Je ne le vois pas ce matin, mais je suppose qu’il est ici quelque part. Et j’aimerais l’entendre chanter ce soir, si c’est possible, soit Il est descendu de Sa Gloire ou Comme Tu es grand! J’aimerais entendre cela. Combien aimeraient entendre chanter frère Ungren? Oh, j’aime quand c’est bien chanté. Et Meda m’a dit qu’il avait un peu une voix de baryton, et cela me rappelle notre frère Baxter. C’est aussi un chanteur, comme nous le savons tous. Donc: Il est descendu de Sa Gloire ou Comme Tu es grand! Je crois l’avoir localisé maintenant… Seriez-vous d’accord pour ce soir, frère Ungren? Si vous restez jusque là. Allez-vous essayer de rester pour le service de ce soir? Eh bien, laissez-moi vous dire: Qu’en est-il de ce… Je ne veux pas causer de dérangement à quiconque, mais qu’en serait-il si nous le faisions pendant le temps où nous prêcherons sur les Sept Sceaux? Si vous venez, j’aimerais enregistrer cela, voyez-vous, pour l’avoir: Comme Tu es grand!, et aussi Il est descendu de Sa Gloire, à ce moment-là.

 

L’INFLUENCE D’UN AUTRE –  13.10.1962 JEFFERSONVILLE, IN, USA

4        Avant-hier, un organisateur qui était avec moi dans le passé, Monsieur Baxter (beaucoup parmi vous se souviennent de lui; il a parlé ici de cette estrade) … Sa femme est morte subitement d’une crise cardiaque. Il était déchiré et très triste; et j’espère… j’ai confiance que vous vous souviendrez de frère Baxter dans vos prières, parce qu’il est l’un de nos frères. Il habite à Vancouver, en Colombie-Britannique. Il n’était plus avec moi depuis un certain nombre d’années. J’ai entendu dire que sa femme avait eu une sorte de dépression nerveuse et que, subitement, elle avait eu une crise cardiaque et s’en était allée. Nous ne pouvons pas dire à quel moment nous serons repris. Ainsi, quand Il appelle, nous devons être prêts. C’est la raison pour laquelle nous sommes ici ce soir.

 

L’ETAT PRÉSENT DE MON MINISTÈRE –  08.09.1962 JEFFERSONVILLE, IN, USA

49     Vous connaissez frère Baxter, beaucoup d’entre vous se souviennent de lui. Il lisait ceci au sujet de Démas. Il dit: «Savez-vous ce que je vais faire, Frère Branham, lorsque j’irai au ciel, la première chose que je ferai?»

Et je dis: «Quoi?»

 

50     Il dit: «J’irai là-haut et je chercherai tout de suite où se trouve Démas, et je lui donnerai un coup aussi fort que je le pourrai!» Et il dit: «Il se retournera et dira: Baxter, pourquoi fais-tu cela?» Il dit: «Pourquoi as-tu quitté ce pauvre Paul quand tout le monde l’avait abandonné?» Je ne souscris pas à cela, je ne crois pas qu’ils auront des bagarres là-haut, mais je pensais juste à frère Baxter qui disait cela parce qu’il avait tellement pitié de Paul.

 

LA PAROLE PARLÉE EST LA SEMENCE ORIGINELLE (PARTIE I) – M18.03.1962 JEFFERSONVILLE, IN, USA

18     Je fus abasourdi une fois (pas pour plaisanter ici), mais il y avait une réunion à Chicago, et un homme de Couleur était là, et il n’arrêtait pas de dire: «Je veux voir le Docteur Branham.»

Il avait un énorme chapeau et de grandes croix, d’environ vingt centimètres de longueur et de largeur, accrochées sur sa poitrine, et des robes et habillé très bizarrement avec des bagues amusantes et des perles et ainsi de suite. Et j’ai dit à Frère Baxter, qui était mon associé, je lui ai dit: «Amenez-le dans la pièce; je–je veux–je le verrai.»

Et il s’assit en face de moi et dit: «Vous considérerai-je comme ‘Père’ ou ‘Révérend’ ou ‘Ancien’ ou comment dois-je vous appeler?»

 

ECOUTEZ-LE –  13.03.1960 PHOENIX, AZ, USA

17     Cela me rappelle une petite histoire qui arriva quand feu le roi George vint visiter le Canada, avec sa chère épouse. Le roi souffrait à ce moment-là de sclérose en plaque, pour laquelle j’ai eu plus tard le privilège de prier; je reçus une lettre de sa part. Et, le jour où il dû traverser Vancouver, en Colombie britannique, il descendit la rue dans son carrosse. Les gens fermèrent les écoles, les professeurs… Et tous se préparèrent pour fêter joyeusement la visite du roi.

Je me souviens que mon associé, Frère Ern Baxter, me dit: «Frère Branham, lorsque j’étais là-bas et que je vis le roi passer, avec sa charmante épouse dans sa jolie robe bleue, j’ai souri et pleuré en même temps!»

Voyez-vous, cela voulait dire quelque chose pour lui: C’était le roi et la reine qui passaient. Et je pensai: Si les Canadiens qui font partie de ses sujets, étaient aussi émus de voir passer le roi d’Angleterre, que sera-ce quand le Roi de gloire passera?

 

JE ME TIENS À LA PORTE ET JE FRAPPE –  08.12.1957 JEFFERSONVILLE, IN, U.S.A.

90     Et quand monsieur Baxter m’a dit, au Canada, ou a Chicago, il a dit: «Allons en Inde. Laissons ces Afrikaans seuls; ils ne vont pas coopérer avec nous correctement.» J’ai dit: «Très bien.»

 

91     Je l’avais oublié. Quand je suis rentré à la maison, l’Ange du Seigneur m’a rencontré entre deux pièces: une Colonne de Feu, une Lumière, la Même que là. Et Il dit: «Va en Afrique comme Je t’ai dit d’y aller.» Et un an plus tard, ils me parlèrent à nouveau de cela.

 

APOCALYPSE, LIVRE DE SYMBOLES –  17.06.1956 JEFFERSONVILLE, IN, U.S.A.

143    Puis j’ai un AINSI DIT LE SEIGNEUR à transmettre à une femme dans le nord du Canada. Et j’irai là-bas; mon épouse viendra avec moi et les enfants aussi, juste pour quelque temps. Et je redescendrai directement pour – pour voir mon ami Ern Baxter. J’ai quelque chose à lui dire à Vancouver. Et immédiatement après cela, j’irai à Washington, chez Rasmussen, pour lui faire une visite d’un jour.

 

L’ARCHE –  22.05.1955 JEFFERSONVILLE, IN, USA

11     J’étais en Floride il n’y a pas longtemps. Un certain soir, j’ai rencontré un cher frère bien-aimé, du nom de frère Jackson, Gail Jackson. Il est un de mes convertis à la guérison. Donc, j’étais très en arrière financièrement. Habituellement, vous savez, avec les offrandes et les autres dons, je ne tiens pas les gens au courant. Si le Seigneur pourvoit, très bien; s’Il ne le fait pas, alors, nous allons chercher ailleurs. Puis Gail est arrivé et il a dit au gérant: «Eh bien, comment vont les finances?»

Il répondit: «Oh, juste mille dollars environ, un peu plus peut-être, quinze cent, pour arriver.»

Il dit: «Le problème c’est que vous ne savez pas comment vous y prendre avec les gens du Sud.» Alors il s’est levé et a dit: «Puis-je m’occuper de l’offrande de ce soir?»

Il dit: «Oui, mais pas de quête, parce que frère Branham nous disputerait pour cela.»

Il dit: «Nous ne quêtons jamais.»

Alors il est monté là, et il a juste dit quelques mots, et il y eut deux mille dollars dans l’offrande. Il a dit: «Vous voyez, frère Baxter, vous ne savez seulement pas comment vous y prendre avec les gens du Sud, c’est tout. Alors c’est comme ça. Vous devez connaître les gens du Sud. Vous devez connaître les coutumes des gens du Nord. Vous devez les connaître. Et je pense qu’un indigène, connaissant leurs propres coutumes et leur propre tribu, c’est une bien meilleure manière que… c’est une bien meilleure personne à mettre avec ses propres gens, que tous ces faits sur mesure que nous avons …?… Alors, je suis très reconnaissant pour les frères.

 

DÉMONOLOGIE – DOMAINE RELIGIEUX –  09.06.1953 CONNERSVILLE, IN, USA

35     Je regarde ces hommes aux cheveux gris. Mon garçon, hier; j’étais dans mon bureau, j’étudiais, et un ministre est entré en passant, il a dit: «J’aimerais serrer la main à ton papa.» Évidemment, mon garçon a été à l’école de Frère Baxter et des autres, eux c’est carrément «non», un point c’est tout, tout de suite. Je n’aime pas ça. Voyez? Peu importe si je… Évidemment, je ne peux pas être à la fois serviteur des hommes et serviteur de Dieu. Mais moi ce que je trouve, j’aime serrer la main de mes frères. J’aime faire ça. Il y a quelque chose là-dedans, j’aime serrer la main d’un-d’un ministre. Et non seulement celle d’un ministre, mais de tout enfant de Dieu, j’aime le faire. Je n’en ai rien su, jusqu’au moment où ma femme m’en a parlé, un peu plus tard. Eh bien, s’il avait dit à ce ministre: «Un petit instant, il s’est retiré pour prier, et-et je vais voir ce qu’il en dira.» Eh bien, ça, ç’aurait été mieux. Alors, je l’ai repris un peu là-dessus, il ne doit pas faire ça. Voyez?

 

DÉMONOLOGIE – DOMAINE RELIGIEUX –  09.06.1953 CONNERSVILLE, IN, USA

126    Le lendemain, elle était en feu, elle le disait à tout le monde en ville, elle en parlait partout. Évidemment, là-bas ils ne la connaissaient pas, ils ne savaient pas si elle avait déjà été dans cet état-là ou pas. Et alors, ce jour-là, je… Frère Baxter m’a dit: «Frère Branham,» il a dit, «ces jeunes filles sont là-bas, en train de faire leurs bagages.» Et il y a une chose qu’il ne savait pas, que moi je savais. Notre situation financière était au plus bas. Je ne permettais jamais qu’il en parle. Mais une de ces jeunes filles avait mis neuf cents dollars dans la-dans l’offrande le soir d’avant, ce qui avait rétabli notre situation financière. Or, il ne le savait pas, jusqu’à aujourd’hui, il ne le sait pas, mais moi je le savais. Voyez? Que je… Dieu m’avait dit que tout irait bien.

 

127    Et Frère Baxter disait: «Frère Branham,» il disait, «vous devriez me laisser faire un peu de sollicitation.» Il disait: «Ils ont eu de ces guérisseurs Divins ici, qui ont vraiment sollicité ces gens.»

 

128    J’ai dit: «Rien à faire. Non monsieur. Vous ne ferez pas ça. Frère Baxter, le jour où vous solliciterez les gens pour obtenir de l’argent comme ça, ce sera le moment où vous et moi, nous nous serrerons la main comme frères, je ferai cavalier seul. Voyez?» J’ai dit: «Vous ne ferez pas ça.» J’ai dit: «Dieu possède le bétail de mille collines, et tout Lui appartient. Je Lui appartiens. Il va prendre soin de moi.»

Il a dit: «Très bien.»

 

 

LE PROPHÈTE CONNAÎT LE CŒUR –  29.09.1951 NEW YORK, NY, U.S.A.

7       Bien, dans le deuxième Livre des Rois, le sixième chapitre… j’aime simplement lire cette Parole, et je suis… Frère Baxter prenait ma défense pour accaparer tout ce temps. Je dis: «Ne faites pas cela, Frère Baxter.» Parce que j’étais derrière le rideau en train de lire son merveilleux message. Frère Baxter est vraiment un orateur. Et je suis très heureux de l’avoir de notre côté, qu’il soit l’un des nôtres. Et Frère Bosworth ici est l’un des plus grands enseignants sur la guérison divine que je n’ai jamais entendu de ma vie, c’est Frère Bosworth. Il est vieux, et il est–il–il ne fait–il ne fera pas–il serait contrarié.

 

CONDUIT PAR L’ESPRIT –  15.07.1950 MINNEAPOLIS, MN, USA

  1. Cet après-midi-là, moi et frère Baxter, mon plus proche manager, nous nous promenions; nous étions partis en ville, nous nous tenions là dans la rue. J’ai dit: «Je vois deux femmes habillées en noir sortir d’un magasin, elles vont nous arrêter très bientôt, frère Baxter.»

Et nous venions à peine de dépasser environ deux pâtés de maisons, et je regardais quelques cravates dans un magasin pour homme. Et juste à ce moment-là, deux dames habillées en noir sortirent de ce même magasin et accoururent vers nous, elles commencèrent… à leurs mains. Elles ne parlaient pas anglais, mais elles avaient besoin de – de discernement de l’esprit sur ce qui n’allait pas avec leur main.

Frère Baxter a dit …

Je – eh bien, maintenant, ces choses arrivent tout le temps, mais je -je n’en fais pas mention, mes amis, à moins que ça soit quelque chose de bénéfique ou de profitable, quelque chose de ce genre.

 

LA COMMISSION DE MOÏSE –  10.01.1950 HOUSTON, TX, USA

  1. Je vous donne juste ceci avant qu’on termine. Et je me suis retourné pour boire sur l’estrade. Et on était en train de former la ligne de prière. Et lorsque je me suis retourné pour boire, le Révérend Monsieur Baxter, mon manager canadien… Je prenais un verre d’eau quand il prit son mouchoir et essuya tout simplement la sueur sur mon front. Il dit: «Que Dieu vous bénisse, Frère Branham.»

Je dis: «Merci, Frère Baxter.»

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