L’UNITÉ D’UN SEUL DIEU– (LA TOUR DE BABEL) – 28.01.1958 WATERLOO, IA, U.S.A.
144 Leo et Gene ici, il y a deux garçons (l’un catholique et l’autre je ne pense pas qu’il appartenait à quoi que ce soit). Quand ils arrivèrent à Hammond, Indiana, et virent le Saint-Esprit dans ces milliers de personnes appelées quelques années auparavant, l’un d’entre eux laissait pousser une grosse barbe; et ils formaient leur propre F.B.I. pour venir et voir si ces choses étaient correctes. Ils sont venus chez moi, se faisant passer pour des évangélistes et ainsi de suite, et le Saint-Esprit descendit directement et discerna cela. Les voici assis ici, maintenant. Voyez pourquoi ne pouvez-vous pas le supporter? Qu’y a-t-il?
ETRE CONDUIT (SUIS-MOI) – A31.10.1965 PRESCOTT, AZ, USA bb107333
9 Je veux remercier chacun d’entre vous, pour ce merveilleux moment de communion, frères Léo et Gene. Cela a vraiment été trois jours d’adoration pour moi. Même là-bas dans la jungle, lorsque j’essaie de me laisser aller à penser que je suis à la chasse, d’une manière ou d’une autre, je vous regarde et je vous entends parler. J’ai eu le privilège, cet après-midi, de visiter vos foyers. Je n’ai jamais vu, je ne suis jamais entré dans… disons un village, où je pouvais voir autant de maisons propres et soignées et des gens ayant tant de respect pour Christ et l’Évangile. Je – je n’ai jamais vu cela quelque part ailleurs. Et vous avez certainement commencé sur le bon chemin, continuez simplement et Dieu sera avec vous. J’ai pu voir quelques-uns d’entre vous. J’ai vu, l’autre jour, ces sœurs; je ne les connaissais même pas, parce que tout ce que je pouvais voir d’elles, c’était juste leurs yeux et leur nez, qui dépassaient de leurs capuchons. Et – et maintenant, je crois que je vous connais mieux, grâce à la courtoisie des frères Leo et Gene qui m’ont amené dans les alentours visiter vos foyers; et je peux serrer la main à ces petits enfants, les prophètes et prophétesses du siècle à venir, s’il y a un siècle à venir.
L’AMOUR DIVIN – 05.03.1957 PHOENIX, AZ, U.S.A.
31 Beaucoup d’entre vous avez entendu l’histoire de l’opossum: un matin vers dix heures, Leo et Gene, les jeunes gens qui enregistrent les bandes pendant les réunions sont venus chez moi, je lisais le journal et je leur montrai la photo d’une jolie fille qui avait fait une chose horrible dans la ville, elle avait donné naissance à un enfant illégitime et ne voulant pas garder le bébé, l’avait étouffé dans une couverture, attaché avec un fil de fer autour de lui, puis avait pris un taxi pour la rivière Ohio où elle l’avait jeté.
Le chauffeur du taxi l’avait rapporté, les gardes-côtes avaient récupéré le bébé, la fille avait été arrêtée.
L’ORDRE DE L’ÉGLISE – 26.12.1963 JEFFERSONVILLE, IN, USA
115 Au début, frère Roberson et les autres commencèrent à les produire, frère Beeler et plusieurs autres commencèrent à les produire. Puis nos deux frères, frère Mercier et frère Goad, les produisirent pendant des années. Et, bien entendu, chacun des hommes qui les a produites a été l’objet de plaintes, chacun d’eux. Mais on dirait que, dernièrement, les gens se plaignent beaucoup de ce qu’ils ne reçoivent pas leurs bandes. Des gens m’ont téléphoné de l’autre bout du pays. Autre chose: On se plaint de recevoir des bandes déjà utilisées sur lesquelles on aurait réenregistré; on y entend une chose une minute, et puis on entend autre chose par-dessus, et alors on n’arrive même plus à comprendre ce qui s’y trouve.
QUESTIONS ET RÉPONSES – 12.01.1961 JEFFERSONVILLE, IN, USA
18 Frère Stricker est un soldat, frère Goad là-derrière est un soldat; et peut-être que frère Ruddell, ici présent, était un soldat, frère Beeler et tous les autres qui sont – qui sont passés par la vie militaire; vous vous réunissiez, vous – vous vous consultiez, vous vous enquériez de la bataille avant d’y aller et, si possible, de toutes les tactiques de l’ennemi, afin de l’affronter sur son terrain.
536 Le docteur Goad et le docteur Mercier ici présents, je – je – j’espère… comme nous nous appelons. Et frère Goad est arrivé au point où je… Il mérite vraiment un titre, il peut charger des cartouches maintenant. Oui. Eh bien, il est… Et – et frère Leo, je crois que nous pouvons ainsi le laisser s’y mettre, et l’appeler… le laisser garder son titre de – de «docteur».
UNE DÉLIVRANCE TOTALE – 12.07.1959 JEFFERSONVILLE, IN, USA
- Et je serai content de voir ces chères gens, s’ils veulent seulement composer BUtler 2-15-19 (1-5-1-9), et M. Mercier ou M. Goad, l’un des deux, répondra au téléphone, et il vous dira exactement quand vous pourrez avoir un rendez-vous. Nous avons un local là-bas, climatisé et prêt pour qu’on puisse y recevoir les gens et prier pour eux. Nous ne demandons pas mieux que de faire ça.
SENTINELLE, QU’EN EST-IL DE LA NUIT? – 30.11.1958 JEFFERSONVILLE, IN, USA
3 La Parole vient d’être lue par notre Frère Gene Goad, au chapitre 21 du Livre d’Ésaïe, à partir duquel nous allons faire une étude pendant un moment et puis prier pour les malades. Et maintenant, ce matin, je voudrais tirer de là, du 11e et du 12e versets, comme sujet: Sentinelle, qu’en est-il de la nuit?
LE BAPTÊME DU SAINT-ESPRIT – M28.09.1958 JEFFERSONVILLE, IN, USA
209 L’homme qui répond au téléphone sera M. Mercier ou M. Goad ici présents. Ils inscriront dans mon livre exactement tous les rendez-vous et je verrai chaque personne.
L’EXPECTATIVE – 08.05.1958 BURLINGTON, VT, USA
8 Ce soir c’est la réunion de clôture, et je pourrais annoncer que mon bon ami ici, Frère Leo Mercier, qui vient d’une famille catholique, une famille catholique du Canada français. Monsieur Goad et lui… je ne sais pas exactement quelle était la religion de monsieur Goad. Lorsqu’il y eut une réunion dans une certaine ville, ils étaient là. Et ils ont senti que ces visions… (Je me demande si c’était dans ma maison?) Ainsi, ils se sont constitués en petits agents du FBI, et sont venus pour découvrir si c’était vrai ou pas. Vous devriez entendre leur témoignage. Ils sont devenus mes amis.
QUESTIONS ET RÉPONSES SUR LES HÉBREUX, PARTIE 1 – 25.09.1957 JEFFERSONVILLE, IN, USA
20 Maintenant dans cette lecture des derniers chapitres… Les sept premiers chapitres du Livre des Hébreux. Après l’enseignement bien sûr, le garçon qui a rassemblé ces sujets, Frère Mercier et Frère Goad les ont et se préparent à les publier sous forme de livre. Et ils les ont. Maintenant… nous n’avons pas tout sondé, nous avons juste effleuré la surface. Et je pense qu’ils ont abrégé cela… Et ils ont pris les pépites… Et ils ont juste poli les pépites, juste quelques pépites de l’enseignement des Hébreux. Frère Mercier les aura très bientôt en impression pour tout ceux qui les désirent.
QUAND L’AMOUR S’ÉLANCE – 06.08.1957 EDMONTON, ALBERTA, CANADA
31 L’été dernier, Monsieur Mercier ici, Monsieur Goad qui est ici également, et plusieurs de–de–ceux qui faisaient partie de la campagne et qui ne sont pas avec moi maintenant, nous étions assis sous la véranda. Une fille de Couleur venait de… Ce matin-là, il y avait eu sur le journal une histoire d’une belle jeune fille de Couleur. Et elle avait mis au monde un enfant illégitime. Et elle a pris ce bébé, l’a enveloppé dans des couvertures et la ficelé, puis elle a appelé un taxi. Alors elle est allée au pont sur le fleuve Ohio et a fait comme si elle jetait quelque chose, et elle a jeté le bébé dans la rivière. Le ta–conducteur du taxi l’avait rapporté aux autorités et ils ont fait des recherches et ont trouvé que c’était un bébé.
32 Monsieur Mercier ici et Monsieur Goad, je les appelle mes prédicateurs étudiants. Si vous ne saviez pas qui ils sont, l’un est un catholique et l’autre (je pense) est un installateur d’appareils à vapeur. Et à eux deux ils ont constitué un petit F.B.I. pour vérifier si ces visions étaient justes, et ils sont descendus en ville comme des personnes ordinaires. Et le Seigneur leur a tout révélé là même. Et ils sont devenus mes amis. Et ils étaient assis sous la véranda et je les enseignais.
J’ai dit: «Cette femme n’est pas une mère. Une mère ne ferait pas une chose pareille. Non monsieur.» J’ai dit: «C’est une femelle qui a donné naissance à un enfant, mais elle n’est certainement pas une mère. Le titre de mère mérite plus que cela.»