LA FOI SANS LES OEUVRES EST MORTE CLEVELAND OH USA Mar 22.08.50
- Autrefois, je pensais que ce n’était pas bien de recevoir un cadeau offert par quelqu’un. Frère Sharrit, c’est lui qui a fait pression sur moi à ce sujet. Il a dit : «Frère Branham, je suis obligé de vous corriger là-dessus. Mais, a-t-il dit, là vous vous trompez.» Il a dit : «Vous faites faire des pertes à ces gens en refusant leurs cadeaux; vous leur faites manquer leur récompense.» Il a dit : «Il y a plus de bonheur à donner qu’à recevoir.»
Ensuite, il m’a raconté son histoire. J’ai fait… Je crois que je vais vous la raconter maintenant même. Je viens juste d’y penser il y a un instant. John B. Sharrit, de Phoenix en Arizona, l’un des directeurs commerciaux de la campagne… beaucoup d’entre vous l’ont sans doute rencontré. Y a-t-il par hasard quelqu’un ici qui connaît frère Sharrit, ou plutôt quelqu’un qui connaît John Sharrit, de Phoenix, en Arizona? Bien, c’est un produit de l’école biblique de Dieu à Cincinnati, dans l’Ohio.
Le doyen de l’université me parlait de lui il y a quelques mois, un très brave homme, Frère Stanley. Beaucoup d’entre vous ont entendu parler de Frère Stanley de… un revivaliste de Dieu. Il m’attend chez moi maintenant.
- Bien, mais il s’est mis à chercher le Seigneur lorsqu’il était un jeune garçon. Alors que tous les garçons sortaient à différents endroits avec les jeunes filles, lui a dit : «Seigneur, moi je–je vais Te faire confiance. Je–ce serait affreux pour moi–moi–moi–moi d’aller essayer de parler aux jeunes filles. Mais je veux me marier et avoir des enfants. Et je vais Te servir, mais donne-moi une femme.» Il confia cela au Seigneur : il avait environ vingt-cinq ans. S’il avait pu passer à côté de chaque femme au monde, il n’en aurait pas eu de meilleure que celle qu’il a. Dieu lui a donné une charmante petite sainte. Mais une chose importante est qu’il aimait tellement les enfants… Elle était stérile. Ils s’étaient mariés ça faisait beaucoup, beaucoup d’années, ça faisait dix-sept ans, sans enfants.
Il cassait du béton dans la rue, à vingt-cinq cents par heure pour gagner sa vie. Et ils avaient épargné leur argent, ils ont acheté une petite maison à trois pièces. Je pense que cela coûtait environ mille cinq cents dollars à l’époque de la crise. Et ils ont payé, payé, et payé. Et…?… payé jusqu‘à ce qu’ils ont tout réglé.
- Juste au moment où ils avaient tout réglé, ils ont eu un réveil à Phoenix. Et il y avait là un homme du nom de Docteur Sutton. Je ne sais pas si oui ou non vous le connaissez, un…?… Un Evangile–un prédicateur du Plein Evangile était venu là à Phoenix, et il séjournait dans un camp de touristes.
Et le Seigneur apparut à frère Sharrit une nuit dans un songe. Il lui dit : «Prends ton argenterie, tes vêtements et ta femme, ensuite, quitte ta maison, et remets-la à frère Sutton que voici.» Pensez-y. Après environ dix ans de dure labeur pendant la crise, faisant de l’épargne et déployant des efforts, et le Seigneur lui dit de remettre cette maison au Docteur Sutton, qui était un–un prédicateur réputé.
Frère Sharrit a dit : «D’accord, Seigneur.»
Il alla auprès de sa petite compagne et dit : «Chérie, le Seigneur m’a parlé et m’a dit de remettre notre maison… de prendre juste notre argenterie et nos vêtements, et de remettre la maison à Docteur Sutton.»
Quand il est allé en parler à sa femme, elle a dit : «D’accord, chéri.» Elle crut en son mari et dit : «Si le Seigneur t’a demandé de le faire, c’est que Dieu a autre chose à faire pour nous.»
- Ainsi, elle… il a donc remis tout ce qu’il avait. Et cette nuit-là, il ne savait où amener sa femme. Et ils ont trouvé un camp de touristes où on payait soixante-quinze cents. Et ils sont restés dans ce camp cette nuit-là, et il gagnait vingt-cinq cents par heure en cassant du béton dans la rue (C’est vrai.), travaillant chaque jour pour… c’est un très grand homme, pesant environ 225 livres [112, 5 kg–N.D.T.]
Et environ une semaine plus tard, une dame riche lui a dit que–qu’elle reculerait quelques-uns de ses meubles dans son garage, et elle lui demanda d’habiter dans son garage, là vers la montagne Camel Back (Vous savez où ça se trouve), c’est une sorte d’endroit très aristocratique de la région, là-bas. Elle a dit : «Vous… Si vous entretenez ma cour…?… venez et arrosez le gazon, et ainsi de suite.» Elle a dit : «Vous pouvez habiter dans mon garage gratuitement.» Il a emménagé là pour environ un cent. Il avait quelques malles, il s’est procuré un…?… Il a mis cela par terre, il s’est procuré un matelas…?… Lui et sa femme dormaient là.
Frère Sutton a dit : «Frère Sharrit, je ne…»
Il a dit : «C’est le Seigneur qui m’a dit de le faire. C’est en ordre.»
LA FOI SANS LES OEUVRES EST MORTE CLEVELAND OH USA Mar 22.08.50
- Il est allé de l’avant. Et il est resté dans cette situation environ une année, il a vécu une bonne vie chrétienne. Finalement, la jeune dame chez qui il vivait était une multimillionnaire, elle avait vu son intégrité. Il était un chrétien juste comme Daniel à Babylone.
Un jour, elle alla le voir, elle dit : «John, dit-elle, tu sais quoi? Hier soir, le Seigneur m’a parlé dans un songe, et il a dit que je dois te prêter dix mille dollars pour une affaire.»
«Eh bien, a-t-il dit, bon…?… a-t-il dit, Madame, je–je ne peux même pas…?… Je ne serai jamais un homme d’affaires.»
Elle a dit : «Mais le Seigneur m’a demandé de le faire, et voici le chèque.»
Il a répondu : «Bien, ah, je–je–je ne peux pas vous laisser faire ceci.» Il a dit : «Je–je ne veux pas de dix mille dollars dans mon… non, huh-uh»
Alors, elle a dit : «Mais le Seigneur m’a dit de te les donner.» J’ai vu que tu es un homme bon et honnête, je t’ai vu lire la Bible. Et je me suis procuré une Bible et je L’ai lue. Et le Seigneur m’a dit de te donner le chèque, de te prêter cela, dix mille dollars pour faire des affaires.»
LA FOI SANS LES OEUVRES EST MORTE CLEVELAND OH USA Mar 22.08.50
- Alors, il prit le chèque. Il ne savait quoi faire. Ainsi, il est allé de l’avant. Et un soir, il se promenait et il a vu une vieille petite maison de cinq pièces qu’on vendait à deux mille dollars. Il est donc parti là et a encaissé le chèque et, il a acheté cette maison à deux mille dollars. Et ils sont allés là, sa femme et lui, et se sont mis à casser le plâtrage de la maison et ils ont bien replâtré cela, lui et sa femme travaillant ensemble. Et il a plâtré toute la maison, il a arrangé le parquet et il y a accroché une enseigne de mise en vente. Et s’il avait reçu trois mille, il aurait fait de l’argent. Et il a vendu cela à six mille.
Aujourd’hui la fortune de John Sharrit s’élève à un demi-million de dollars. Ça fait environ six ou sept ans depuis qu’il a commencé, sa fortune s’élève à un demi-million de dollars. Il est père de trois beaux petits enfants. Oh! la la!
Il a dit : «Frère Branham, et si j’avais… Et si Docteur Sutton avait refusé de prendre…?… Ce que Dieu m’avait dit de faire. Voyez ce qu’il en serait?»
Et alors, il s’est tenu là, il a dit : «Seigneur…» [Espace vide sur la bande–N.D.E.]
LE DIEU IMMUABLE PHOENIX AZ USA Sam 20.01.62
- Un jour, je me tenais ici avec frère John Sharrit. Il m’a montré à peu près, (oh!) à peu près quatre ou cinq différents agrumes sur un–sur le–un arbre. Je crois que c’était des grenades, et–et… Non, je me trompe peut-être là-dessus. C’était des oranges, et des citrons, et des mandarines, et des tangelos, et des pamplemousses, tout cela poussait sur un oranger. Et j’ai dit : « Mais, Frère John, j’aimerais te poser une question. Lorsqu’ils auront donc grandi, et qu’ils produiront encore des bourgeons, ai-je dit, seront-ils tous des oranges? » Il a dit : « Non. Chaque sarment… chacun de ces petits sarments qui a été coupé, et greffé sur cet arbre… Si c’est un citronnier… si c’est un sarment de citronnier, il portera des citrons. » J’ai dit : « Mais qu’en sera-t-il si l’arbre original donne un autre sarment? » Il a dit : « Il portera des oranges. » C’est juste. Donc, frère, nous pouvons nous introduire là nous-mêmes par une organisation. C’est tout ce que nous avons ; nous portons des fruits de l’organisation. Nous porterons une évidence de l’organisation. Mais si vous êtes engendré par le Cep, vous naissez étant une nouvelle créature en Christ, vous porterez la Vie de Christ ; je vous assure que vous le ferez. C’est juste. Vous aurez la même expérience qu’ils ont eue au commencement. Amen. Je sais que c’est la vérité.
JEHOVAH-JIRE 1 LOUISVILLE MS USA Jeu 02.04.64
- Il y a quelques mois, j’étais là, à Phoenix, avec mon cher ami, John Sharrit. Moi, je vis à Tucson, comme vous le savez. Et alors, j’étais là à Phoenix, avec Frère John Sharrit, un très bon frère chrétien. Et il était très, très pauvre. Après, le Seigneur l’a béni. Et–et quand j’étais allé pour la première fois à Phoenix, il y a des années, il n’avait pas d’enfants. Et–et il désirait avoir des enfants. Et–et il était pauvre, travaillant là, sur la voie publique, cassant du béton pour vingt-cinq, trente cents l’heure. Et il est venu là, et il a cru chaque Parole du Message. Et il a dit : «Voudriez-vous prier pour moi?» Il a cinq enfants maintenant.
JEHOVAH-JIRE 1 LOUISVILLE MS USA Jeu 02.04.64
- Et cela–à part cela, il donne environ trois ou quatre millions de dollars chaque année pour la cause de Christ. Et c’est vrai. J’étais avec lui là-bas, il n’y a pas longtemps, en train de visiter son champ de coton. Il a acheté tout un comté, il a mille cinq cents Mexicains qui en prennent soin. Et, il y a quinze ans, il cassait du béton pour vingt-cinq cents l’heure.
LES SIGNES SCRIPTURAIRES DU TEMPS BIRMINGHAM AL USA Ven 10.04.64
- L’autre jour, je me tenais là et j’ai vu quelque chose de mystérieux. Un ami intime à moi et à Jack Moore aussi, John Sharrit… Le Seigneur l’a béni au début du ministère. Il n’avait pas d’enfants. Il travaillait pour vingt-cinq cents par heure, cassant du béton dans la rue. Il est venu à la réunion, le Seigneur l’a béni : Il a eu cinq enfants. Maintenant, il est propriétaire de la moitié de Phoenix, il donne environ deux ou trois millions chaque année au Seigneur. Il n’y a pas longtemps, j’étais dans sa ferme, dans l’une de ses fermes, là où il avait 1.500 Mexicains qui travaillaient d’arrache-pied, et tout un comté avec rien que du coton, des pommes de terre, comté après comté. C’est à lui seul. Et il y a quinze ans, il gagnait vingt-cinq cents par heure en cassant du béton. Il a fait confiance à Dieu.