LA FÊTE DES TROMPETTES – M19.07.1964 JEFFERSONVILLE, IN, USA
8 Maintenant, aujourd’hui, je voulais annoncer que la réunion que nous avions prévue, à laquelle je prévoyais me rendre la semaine prochaine, en–en Afrique, pour être avec Frère Joseph Boze, là-bas, au Kenya et au Tanganyika. Nous ne pourrons pas faire la réunion, nous avons reçu un télégramme de Frère Boze: “La semaine dernière, trois de nos missionnaires ont été tués, assassinés.”
LE CHEF-D’ŒUVRE – 05.07.1964 JEFFERSONVILLE, IN, USA
19 Mais j’ai reçu de Frère Boze une invitation à une grande convention. Il est sur le point de voir clair sur ce que nous croyons. Et alors, j’ai demandé à entrer comme si j’y allais pour un voyage de chasse. S’ils me laissent entrer, comme si j’y allais à la chasse… Si je peux trouver quelqu’un qui dise qu’il m’emmènera à la chasse, à ce moment-là, quand j’arriverai là-bas, le médecin–le médecin qui est à l’ambassade est un ami personnel à moi, de Chicago. Et dès que j’arriverai là-bas, il dira: “Eh bien, voici Frère Branham, il est ici. Faisons une réunion.” Alors, une fois que je suis là, l’ambassade ne peut pas me refuser. S’ils… Alors, ils sont en train d’essayer d’arranger ça. Alors, j’ai confiance que ça… Si c’est la volonté de Dieu, ça va fonctionner comme ça. Voyez? C’est–c’est simplement entre Ses mains. Sinon, alors je vous le ferai savoir. Je ne…
L’ORIGINAL – E14.06.1964 JEFFERSONVILLE, IN, USA
4 Habituellement je vais en tant que missionnaire et j’en profite pour chasser, mais cette fois-ci j’irai en tant que chasseur et je serai un missionnaire. Il faut employer tous les moyens pour parvenir jusqu’à eux. Et frère Mattsson-Boze travaille à cela, essayant de me faire entrer et de trouver un safari où je puisse aller chasser. Puis lorsque je serai dans ce safari, il dira: «Notre frère Branham est dans le pays (il ira à l’ambassade); verriez-vous un inconvénien t à ce qu’il tienne une petite réunion là dehors?». Vous voyez? Cela permet de prendre un bon départ, ensuite tout ira comme sur des roulettes. Ainsi nous ne savons pas si cela se fera, si nous pourrons faire cela ou pas, mais nous essayons. Et j’ai demandé au Seigneur que si par hasard cela ne se faisait pas, cela soit un signe pour moi que je dois revenir à Jeffersonville pour prêcher sur les sept Trompettes, ce sera pour le mois de juillet ou d’août, environ à cette époque.
TOURNEZ LES REGARDS VERS JÉSUS – E29.12.1963 JEFFERSONVILLE, IN, USA
15 Maintenant, je les baptise au Nom du Père, Fils et Saint-Esprit. Et le NOM du Père, Fils et Saint-Esprit, c’est le Seigneur Jésus-Christ. Exactement. Et il le vit. C’est frère Joseph Mattsson-Boze de Chicago, l’homme le plus dur que j’ai eue à convaincre. Je pense que j’aurai environ trois ou quatre mille indigènes à rebaptiser quand j’irai en Afrique.
L’EVANGÉLISATION AU TEMPS DE LA FIN – 03.06.1962 JEFFERSONVILLE, IN, USA
5 Maintenant, nous avons un – un grand programme aujourd’hui. Nous avons nos réunions de l’école du dimanche ici ce matin, et ensuite, ce soir, nous aurons un – un programme très spécial, ce soir. Mon cher ami, le frère Joseph Boze, qui n’est pas un étranger parmi nous ici, mais je crois que c’est pratiquement la première fois qu’il nous ait jamais rendu visite dans l’église. C’est… J’ai toujours eu deux églises à travers le monde entier que je parcours, que j’appelle toujours des «églises modèles», et l’une d’elles était celle du frère Joseph Boze, l’Église de Philadelphie à Chicago, dans l’Illinois, et l’autre était celle du frère Jack Moore, à Shreveport, en Louisiane. Je suis allé si souvent dans ces églises que lorsque je revenais des voyages missionnaires, quelqu’un a dit: «Ne téléphonez pas à Jeffersonville pour avoir frère Branham, téléphonez simplement à Chicago. S’il n’est pas là, eh bien, téléphonez alors à Shreveport.» J’étais si souvent là-bas.
8 Et on ne m’a pas demandé de dire ceci. Je ne veux pas le dire. Joseph n’est pas au courant de ceci. Mais je pense que ce soir, nous allons montrer notre estime pour notre frère Joseph en lui faisant une offrande pour ses missions d’outre-mer. Nous croyons que le Seigneur Jésus vient. Et – et si vous avez mis de côté une petite offrande pour les missions, ou quelque chose pour les missionnaires, ou quelque chose que vous aimeriez mettre de côté, une contribution à cela, faites votre chèque au nom de Joseph B-o-z-e, pour ce soir. B-o-z-e, c’est cela, n’est-ce pas? Joseph Boze. Et c’est… Je connais le frère Joseph comme un ami intime, personnel, je sais que cela servira pour le Royaume de Dieu, au mieux de sa connaissance.
9 Et, donc, avant que nous continuions, je voudrais vous le présenter et le laisser dire juste un petit mot ici. J’ai essayé de lui faire prendre le service du matin, et il n’a pas voulu le faire, donc, il nous parlera ce soir à vingt heures, pendant le temps qu’il voudra. Et la caméra sera mise en place, et l’écran ici, pour le film. Mais maintenant je voudrais juste dire à l’église, et présenter à l’église mon cher ami et frère, Joseph Boze. Frère Boze. [Frère Boze donne un témoignage. – N.D.É.] Merci, Frère Boze, c’est très gentil. Ceci est la Suède et l’Irlande ensemble. Que Dieu vous bénisse, Joseph. Merci pour vos compliments, Frère Joseph. C’est… Je peux dire la même chose de lui. Je suis si reconnaissant au Seigneur pour la grande oeuvre qui se fait en Afrique et il vous en dira davantage ce soir.
SE RANGER DU CÔTÉ DE JÉSUS – 01.06.1962 JEFFERSONVILLE, IN, USA
87 Maintenant, demain soir ou le lendemain, vous verrez descendre ici Mattsson Boze, qui est un ami à moi. Vous verrez juste ce qu’un petit estropié Suédois a fait là-bas, au Tanganyika. Il est entré là et… Maintenant, Mattsson Boze est un brave homme, mais il ne croit pas dans ce que nous croyons.
LA MANIÈRE D’UN VRAI PROPHÈTE – M13.05.1962 JEFFERSONVILLE, IN, USA
10 Dimanche prochain, je serai à cette école secondaire où je – là-bas, là où j’étais la fois dernière. J’oublie le nom de l’auditorium de cette école secondaire. C’est comment? Mather? Stephen Mather. Oui, très bien. L’auditorium de l’école secondaire. Et puis, lundi, je serai à une convention, là où j’ai eu une discussion avec cette association des ministres, là à Chicago, la fois dernière. Nous serons à cet endroit pour une – une réunion d’adieu à Frère Joseph Boze qui s’en va au Tanganyika (je crois qu’il l’appelle Tanganyika), au Kenya, à Durban et partout là-bas, pour faire des arrangements en vue de mes réunions d’automne prochain et – en Afrique et à travers l’Afrique du Sud. Et alors, nous vous demandons de vous souvenir de nous dans la prière pendant ces réunions.
CROIRE DU COEUR – 23.06.1957 JEFFERSONVILLE, IN, USA
10 Frère Beeler, je pense que vous êtes à l’enregistreur, à l’autre bout. Et Léo et Gene ne sont pas là. J’aimerais que vous envoyiez l’enregistrement de ce témoignage que je vais donner dans quelques minutes, à Frère Boze, il enregistre ceci.
L’AMOUR DIVIN – 26.08.1956 JEFFERSONVILLE, IN, U.S.A.
25 Amen. Asseyez-vous. Et que le Seigneur vous bénisse tous, vraiment richement, bien. Je viens de remarquer que nous avons quelques «Héraut de la Foi» ici, ces petits programmes, ces petits journaux de Frère Joseph Boze de Chicago, un très cher frère. Nous avons toujours… Nous avons eu une communion tellement formidable, l’un avec l’autre. Nous avons passé un bon moment, chaque fois que nous sommes allés à Chicago. J’étais juste avec lui, il y a quelques soirées, à nouveau. Et ils sont gratuits. Venez simplement vous en procurer un, à la fin de la réunion. Ils se trouvent ici.