LE GAZAM, LA SAUTERELLE, LE JELEK ET LE HAZIL CONNERSVILLE IN USA Ven 12.06.53
- Gor-… Ce livre-là appartient à Gordon Lindsay. L’autre livre appartient à Julius Stadsklev. J’envoie simplement les chercher par tas, comme cela. Puis, je… et puis, je leur donne… Je les achète avec une réduction de quarante pour cent ; puis, je les envoie comme cela. Et je les donne aux gens. C’est la vérité.
AYEZ BON COURAGE CHICAGO IL USA Mer 21.07.54
- Je parlais à frère Julius Stadsklev, l’aumônier qui est près de nous. Nous étions tous ensemble outre-mer (Frère Julius Stadsklev est l’auteur du livre «Un prophète visite l’Afrique»). Et, ô comme notre amour avait davantage augmenté pour frère Bosworth, alors que les liens de notre association avec lui se resserrent davantage!
Et je me rappelle qu’il y a quelque temps, lui et frère Julius étaient partis en Afrique pour quelques réunions. Son coeur s’est attaché aux gens de couleur en Afrique, après qu’il eut vu leur condition et tout. Il–il avait ardemment désiré aller vers eux. Il est donc retourné. Et il était là sur la Côte Ouest. Et il faisait, on dirait, des préparatifs pour mon arrivée là-bas. Je ne savais pas qu’il était allé à–à la côte est de Durban; en effet, c’était là mon point d’attache, là où le–frère Bosworth…
Frère Stadsklev était là ce jour-là, lorsque trente mille âmes avaient été gagnées en une fois à Jésus-Christ. C’est dix fois plus qu’au jour de la Pentecôte. Et pensez-y. Jésus a dit : « Les oeuvres que Je fais, vous les ferez aussi et même de plus grandes… » C’est infiniment au-delà de tout ce qu’on peut faire ou penser.
REDEMPTEUR, REDEMPTION SAN FERNANDO CA USA Sam 19.11.55
- Maintenant, concernant le livre, monsieur Stadsklev (Il est un aumônier militaire), c’est lui qui a écrit celui qui s’intitule : Un Prophète visite l’Afrique. Et révérend Gordon Lindsay a écrit l’autre intitulé : Un Homme envoyé de Dieu. Ils ne sont ni l’un ni l’autre… ils sont juste… ils… Ce sont ces hommes qui les ont écrits ; et la façon dont je les obtiens, je les achète simplement (Voyez ?), au–au… je pense, c’est avec une réduction de quarante cents par livre. Et puis, je–je les paie pour le livre, je dois en vendre un à un dollar et demi ; c’est à ce prix là qu’on les vend ; et l’autre à deux dollars. Et c’est ça leur prix. Donc, je les donne avec une réduction de quarante cents par livre. Alors, je dois les amener, en assurer la maintenance, le fret par bateau, l’expédition. Oh ! la la ! La réunion doit soutenir cela.
- Et maintenant même, je–je n’ai pas l’intention de dire ceci (Voyez ?), je suis… je–je ne peux simplement pas en avoir un maintenant même. Je vais en avoir très bientôt, et je les aurai. Je n’en ai pas en ce moment-ci. C’est la raison pour laquelle nous n’en avons aucun avec nous. Mais je–j’en aurai encore très bientôt, aussitôt que je pourrais disposer des moyens pour le faire.
Maintenant, mais… Et je vais… Et si vous en voulez, écrivez-moi simplement à Jeffersonville, Indiana, et je… faites mention du livre que vous voulez et lequel : Un Homme envoyé de Dieu, c’est frère Lindsay qui l’a écrit. Un Prophète visite l’Afrique, Julius Stadsklev, il vient de… Il est avec Billy Graham et les autres là dans le… je pense, c’est Wheaten. Est-ce… Non, est-ce là ? Wheaten, je pense que c’est ça, et c’est de là qu’il vient. Et il est aumônier militaire. Il est là dans le… là loin à Greenland là, ou quelque part dans le territoire des Esquimaux maintenant. J’ai reçu une carte de sa part l’autre jour, il se tenait dans la neige, il a dit qu’il faisait, j’ai oublié combien c’était en dessous de zéro, et en été, cela ne représentait rien là. Ils sont donc là-haut… en Islande, c’est là que ça se trouve, là loin en haut, en Islande.
Ainsi donc, je les aurai–je les aurai très bientôt, et écrivez-moi simplement et je serai content de vous les envoyer directement.
LA PREUVE INFAILLIBLE DE LA RESURRECTION STURGIS MI USA Lun 14.01.57
- C’est juste pour le petit message que frère Gor… L’autre livre est de loin mieux. Le prophète envoyé… Non. J’oublie… Oh ! L’Afrique du Sud. Oui. Stadsklev, l’ami et le condisciple de Billy Graham, je pense qu’il a fréquenté l’école avec Billy Graham. C’était ça. Julius Stadsklev, le capitaine, l’aumônier de l’armée, c’est lui qui a écrit ce livre-là, un fondamentaliste. Ainsi donc, maintenant, nous désirons votre sincère prière.
ET PUIS JESUS VINT PHOENIX AZ USA Sam 02.03.57
- Je crois que j’ai reconnu frère Stadsklev tout à l’heure, Julius Stadsklev, un capitaine de l’armée. Il était ici quelque part. C’est un grand ami à moi, c’est lui qui a écrit le livre, le livre sur l’Afrique. Je l’ai aperçu il y a un instant. Et cela, du mieux que je sache… Oui, Frère Julius, je suis heureux de vous voir, vous et soeur Stadsklev, là ce soir.
Et à part eux, en regardant dans l’assistante, à ce que je sache, je ne connais personne. Et vous savez que je ne… Si Julius a quelque chose qui cloche chez lui, lui ou soeur Stadsklev, j’ignore de quoi il s’agit. C’est juste. Dans la ligne de prière, je pense que je suis un inconnu, bien entendu je… Frère Brown, ces hommes-ci, je les connais. Mais je veux que vous croyiez. Et puisse la Présence du Seigneur venir guérir les malades.
POURQUOI BEAUCOUP DE CHRETIENS TROUVENT-ILS SI DIFFICILE DE MENER LA VIE CHRETIENNE ? PHOENIX AZ USA Dim 03.03.57P
- Si je ne me trompe pas, c’est frère et soeur Peterson de Minneapolis qui sont assis ici, n’est-ce pas ? Je pense avoir vu ici hier soir le capitaine Stadsklev, votre beau-fils, l’aumônier de la–de l’armée. Je ne le vois pas aujourd’hui. Si, le voici par ici.
JEHOVAH-JIRE PHOENIX AZ USA Sam 09.03.57S
- Frère Stadsklev, c’était une merveilleuse réunion, n’est-ce pas ? Voudriez-vous vous lever une minute ? Voici l’auteur du livre Un prophète visite l’Afrique : l’aumônier Julius Stadsklev, il est maintenant capitaine de l’armée des Etats-Unis. Il a reçu sa formation, je pense, à Wheaton ou quelque part là, à la même université que Billy Graham et les autres. Il est allé en Afrique avec moi, il a écrit ce livre et il a pris ces photos. Il était là ce soir-là lorsque ce… J’ai vu ce bus passer, la première soirée où j’atterrissais là en Afrique. Il y a eu un bus là qui passait. Et puis, j’ai vu un garçon là, une jambe plus courte que l’autre de six pouces [15 cm]. L’aumônier Stadsklev se tenait là même, il a écrit ce qui était arrivé.
LAVER LES PIEDS DE JESUS PHOENIX AZ USA Dim 10.03.57P
- Frère Stadsklev, venez ici pour un instant. Est-ce que ça, ça va ? [Quelqu’un répond : « Amen. »–N.D.E.] Cet homme a été avec moi en Afrique, et il a vu des dizaines et des milliers et des milliers de gens venir à Christ en une seule fois. Frère Julius Stadsklev, je vais vous demander d’offrir un mot de prière pour cette assistance. Ensuite nous irons chez nous dans un instant.
SENTINELLE, QU’EN EST-IL DE LA NUIT ? JEFFERSONVILLE IN USA Dim 30.11.58
- La semaine passée, j’ai eu le privilège de parler avec l’un de mes chers amis et frères, le Capitaine Julius Stadsklev, celui qui a écrit le livre «Un prophète visite l’Afrique». Et Frère Julius était en Californie où il est maintenant en train de suivre une formation pour devenir commandant dans l’armée. Et il… Eux–l’état-major de l’armée lui avait fait subir une grande épreuve .Et ils ont mené des recherches sur sa généalogie, même jusqu’à établir qui était son arrière-grand-mère, et leur passé et ce qu’ils étaient, avant qu’il ne puisse assister à–à cette réunion.
AVOIR SOIF DE LA VIE PHOENIX AZ USA Ven 04.03.60
- J’observais juste… Les garçons vendent probablement ces livres ici. Il n’y a pas longtemps j’étais tendu, je parcourais cela, et je suis tombé sur la photo de madame Nightingale. Certainement, je me souviens de cela. Lorsque cela a été pris… cela… Mais ce livre ne donne pas tous les détails sur ce cas. Monsieur Stadsklev est l’éditeur de ce livre ; c’est un très bon livre, un livre excellent. Tout est exact, en effet, il a été soumis à la critique.
L’ADOPTION JEFFERSONVILLE IN USA Dim 22.05.60S
- Julius Stadsklev, combien le connaissent ? Frère Stadsklev, qui est venu à l’église, ici ? Il vient–il venait de se rendre en Allemagne. Il a dit : « Un instant, Frère Branham, un instant. » Il a dit : « Que je fasse venir un photographe en vitesse pour qu’on lui prenne une photo ? »
J’ai dit : « Allez-y. »
- « Marche jusqu’ici, place-toi ici avec ta chaussure. » Il s’est placé comme ça, on a pris la photo du garçon, là, ses deux jambes aussi normales et droites que possible. Il y avait là sa vieille chaussure et son vieil appareil orthopédique, comme cela, comme cela.
LES CONDOLEANCES A LA FAMILLE STADSKLEV JEFFERSONVILLE IN USA Sam 24.09.60
- C’est le soir du 24 septembre.
Frère Julius Stadsklev et Soeur Stadsklev, David et Deborah, ce soir en Allemagne, là de l’autre côté de la mer, coeur brisé, je vous envoie ce petit message, à vous, Frère Julius et Soeur Stadsklev, à David ainsi qu’à Grand-père et Grand-mère. Il n’y a pas longtemps que je vous ai parlé au téléphone. Il ne me semble pas possible que les choses puissent arriver aussi rapidement comme c’est le cas. Vous savez, cela me rappelle Jésus qui disait : ‘‘Soyez prêts, puisque nous ne savons ni la minute ni l’heure.’’
- Maintenant, Frère Stadsklev, tu sais qu’il est dit dans les Ecritures: ‘‘Tout celui qui vient à Dieu doit être châtié et éprouve’’; comme il en fut pour Job quand il avait tous ces ennuis et tout. Et Job, dans toutes ses souffrances, et dans ses ennuis et tentations, avait perdu tous ses enfants, et toute sa–toute sa fortune et tout. Il a dit : ‘‘Le Seigneur a donné, le Seigneur a repris. Que le Nom du Seigneur soit béni.’’ Dieu avait tout rétabli pour lui.
Y avez-vous jamais pensé, Frère, Soeur Stadsklev? Il est dit: ‘‘Et Il lui rendit ses enfants.’’ Après qu’Il lui eut rendu les chameaux, et les–les brebis et tout, Il lui rendit ses enfants. Avez-vous jamais remarqué le lieu où ces–pensé au lieu où se trouvaient ses enfants? Ils étaient dans la gloire en train de l’attendre. Souvenez-vous qu’il offrait un sacrifice et–il l’offrait pour ses enfants en se disant: ‘‘Peut-être qu’ils ont par hasard péché.’’
- Et puis, ce matin lorsque je cherchais–et hier soir pendant que je cherchais la Parole du Seigneur pour vous, la Parole du Seigneur est venue à moi en ces termes : ‘‘Ne réprimande pas ça, car c’est la main du Seigneur,’’ c’était si doux et aimable.
Ainsi, comme je vous l’ai dit ce matin, Soeur Stadsklev, ‘‘calme-toi, ma petite. Tranquillise-toi. C’est Dieu qui a appelé. Il sait ce qui est mieux.’’ Et confie-toi dans la volonté de Dieu. Humilie ta main–ta–humilie-toi sous Sa puissante main.
Mon coeur saigne pour vous, quand je pense à vous, là ce soir, de l’autre côté, loin de chez vous, dans un pays étranger où vous ne connaissez personne. Et votre précieuse petite chérie est partie. Mais Dieu le sait et Il sait comment prendre soin de ces situations. Il sait bien ce qu’il faut faire. Il sait ce qui est mieux.
COMMENT PUIS-JE VAINCRE ? JEFFERSONVILLE IN USA Dim 25.08.63M
- C’est comme dans le cas du petit bébé Stadsklev, quand on a envoyé ici…Mme Stadsklev a dit : «Frère Branham, je vous ai appelé de l’Allemagne.» L’armée américaine avait un de leurs avions à réaction ici, sur le terrain et qui m’aurait emmené en Allemagne par un vol aller et retour le même jour. Il était aumônier. Et le bébé était couché là, mort. Et cette petite mère criait, disant : «Écoutez…» Elle disait : «Je sais; j’étais bien là et j’ai vu cette femme portant ce bébé mort dans ses bras, le bébé était mort ce matin-là. Et j’ai vu frère Branham s’avancer là et imposer les mains à ce bébé mort, et celui-ci est ressuscité.» Elle a ajouté : «Il s’agit de mon bébé, Frère Branham.»Il n’y avait jamais eu de cas de décès dans sa famille. Vous voyez? Et la petite créature était tombée malade dans la matinée, les après-midi, elle est morte.
Les gens se tenaient là, donnant des prophéties et tout le reste, disant que le bébé allait ressusciter et tout du même genre.
- J’ai dit : «Eh bien, c’est très bien, Soeur Stadsklev, mais permettez-moi de voir ce que le Père dit.» Et je suis allé dans les bois prier. A mon retour, elle avait déjà appelé deux ou trois fois avant que je ne sois de retour le matin suivant. Il n’y avait rien.
Le médecin avait dit : «Pas de problème, si cela…Si vous avez une telle foi, madame, nous ne laisserons pas partir le bébé de l’hôpital. Qu’il reste couché là. Restez avec lui ici. C’est en règle.»
Frère Stadsklev est allé trouver le commandant de l’armée et celui-ci lui a dit : «Assurément, nous lui ferons faire un aller et retour par avion.»
- Et il y avait un avion prêt à me transporter ce matin-là et me ramener cette nuit-là en Allemagne, à Heidelberg, en Allemagne, pour la résurrection de ce bébé. J’ai dit : «Dieu peut bien sûr le faire, mais voyons quelle est Sa volonté.»
- Je suis donc sorti et j’ai prié toute la nuit; rien ne s’est passé. Le matin suivant, je suis revenu, rien ne s’est passé. Et je suis entré dans la pièce. Juste à ce moment-là, j’ai regardé là, et voici cette Lumière se tenant là, suspendue près de la porte, Elle disait : «N’y mets pas ta main. Ne réprimande pas cela. C’est la main de Dieu.»
- J’ai eu la soeur au téléphone; j’ai dit : «Soeur Stadsklev, enterrez votre bébé. C’est la main du Seigneur. C’est la volonté de Dieu. Quelque chose allait arriver à ce bébé plus tard dans sa vie. Laissez-le aller où Dieu sait qu’il est. Vous ne pouvez pas aller vers lui pour le moment. S’il vit, ce ne sera pas le cas pour vous. Laissez-le comme ça.»