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RICHARD NIXON

LE GRAND REVEIL IMMINENT ET L’EFFUSION DU SAINT-ESPRIT     CHICAGO IL USA    Dim 18.07.54P

  1. Il y a quelque temps, il y a quelques semaines, on prenait un petit-déjeuner ou… dans une salle à Washington D.C., et un orateur, monsieur Nixon, le vice-président des Etats-Unis, avait alors la parole. Et il disait que le communisme balayait le pays et l’espace d’expansion dont nous disposions. Par exemple, l’objectif que le monde poursuit comme cela… Le communisme l’a déjà atteint en grande partie. Voyez ? Et puis, cette partie-là est composée des croyants et des incroyants. Et Christ a dit que l’Evangile devrait aller dans le monde entier. Ainsi, chaque chrétien a un travail important qui l’attend. Et nous devons être à l’oeuvre, rapidement, bien occupés en même temps aux affaires de notre Père.

UN SOUPER DE NOCES     CHICAGO IL USA    Sam 06.10.56

  1. Puisse le Seigneur ajouter Ses bénédictions à Sa Parole. Maintenant, nous avons un–un grand sujet ici à l’étude, qui est une parabole que le Seigneur a enseignée dans la Bible. Et jamais je ne pouvais … Comme un jeune prédicateur, je m’efforçais de savoir ce que signifiaient ces paraboles. Et je ne pouvais jamais comprendre cela parfaitement jusqu’à ce que je visite une fois les pays de l’est. La Bible est un livre oriental, et nous essayons de La comprendre d’après une conception occidentale. Quand vous allez à l’est, Elle devient pour vous un Livre différent, parce qu’Elle est écrite à la lumière de la connaissance orientale.

Et le peuple oriental avait reçu le Saint-Esprit en premier. Et la civilisation effectue toujours le même parcours que le soleil, et l’Evangile aussi a effectué le même parcours que le soleil. Mais la civilisation, à mon avis, est venue par l’Evangile. Prenez n’importe quel pays qui n’honore pas Dieu, le… oh ! la la ! il n’y a pas vraiment de civilisation dans ce pays-là. Et ainsi, la civilisation–le christianisme est la base de la civilisation. Et c’est une observation faite par monsieur Nixon un matin à un petit déjeuner où nous avions pris part, là à Washington, D.C. pour les Hommes d’Affaires Chrétiens.

L’ECRITURE SUR LA MURAILLE     GREENVILLE SC USA    Mer 18.06.58

  1. Notre grande nation, grande qu’elle est, la plus grande au monde… Et nous avons tous peur du communisme. Vous avez suivi tous les programmes. Il n’y a pas longtemps, j’ai eu le privilège de prendre un petit-déjeuner avec le vice-président Nixon. Et toute sa conversation, pendant que nous parlions, tournait autour du communisme. Et j’étais juste un petit prédicateur saint exalté ; je–j’étais à l’aise à ses côtés. Mais ce n’est pas du communisme dont il faut nous inquiéter. Ce n’est pas le rouge-gorge qui picote la pomme qui l’endommage ; c’est le ver qui se trouve au centre qui la tue.

CE QU’IL FAUT POUR TRIOMPHER DE TOUTE INCREDULITE : NOTRE FOI     YAKIMA WA USA    Ven 29.07.60

  1. Eh bien, on vient de clôturer hier, on a tenu ici aux Etats-Unis deux grandes campagnes. L’une, c’était celle des Démocrates ; ils ont tenu la leur en Californie, et tous les journaux ne parlaient que de cela. Vous ne pouvez pas allumer la radio et ne pas entendre cela. C’est tout à fait normal. C’est le parti. Et ils ont choisi celui qu’ils pensaient être le meilleur homme de leur parti, et ils ont choisi monsieur Kennedy. Et puis, quand ils ont élu monsieur Kennedy dans leur congrès, et, oh ! ils ont érigé la tribune pour monsieur Kennedy, pour qu’il soit le plus grand homme du monde aujourd’hui. Et puis, quand finalement ils ont élu l’homme qu’ils voulaient, ils ont tous fait retentir des acclamations et ont fait de grands éloges à monsieur Kennedy.

Et hier, ou plutôt avant-hier, peu importe quand c’était, l’autre parti, le parti républicain a choisi monsieur Nixon. Eh bien, ils ont prêché pendant plusieurs jours, érigeant une tribune pour monsieur Nixon, et… dans leur campagne. Et ils… Quand le parti a finalement élu l’homme qu’ils pensaient qu’il leur fallait pour briguer la présidence de notre cher pays, les Etats-Unis, la foule tout en liesse a fait retentir des acclamations, et elle a crié, elle a sautillé, parce qu’elle avait élu l’homme qu’elle était venue élire dans cette campagne.

LA CONDAMNATION PAR REPRESENTATION     JEFFERSONVILLE IN USA    Dim 13.11.60

  1. Avez-vous vu les meetings à la télévision ? Du côté de Nixon, c’étaient presque tous des hommes. Elles, elles voulaient toutes embrasser Kennedy, les femmes; elles sautaient à califourchon sur les voitures, et tout, comme ça, elles sautillaient.

LA REVELATION DE JESUS-CHRIST     JEFFERSONVILLE IN USA    Dim 04.12.60M

  1. Et écoutez ceci, l’autre jour… si vous voulez voir quelle bande de renégats ces gens sont, ils prennent ces machines à voter et les truquent en sorte que chaque fois que vous voteriez pour M. Nixon, vous donniez en même temps une voix à l’autre candidat. Ed-… J. Edgar Hoover a retiré ces machines. Combien ont lu cela ? Eh bien, certainement, c’est dans tous les journaux, les informations et tout le reste. Vous voyez où nous en sommes ?

LE SON CONFUS     JEFFERSONVILLE IN USA    Dim 18.12.60

  1. M. Edgar Hoover l’a dénoncé, il a dénoncé le Parti Démocrate l’autre jour. Quand ils ont truqué les machines, de sorte que chaque fois qu’on votait pour M. Nixon, on votait forcément aussi pour M. Kennedy. Et pourquoi ne font-ils donc pas quelque chose à ce sujet, s’ils ont découvert qu’il en est ainsi ? Pourquoi ? Eh bien, il n’y a pas de certitude là-dedans. Oui. Vous savez ce qui est arrivé à M. Hoover. Voyez, exact (Voyez ?), tout est incertain. Vous ne pouvez pas savoir qui a été élu, si c’est Kennedy ou si… Kennedy a été proclamé élu, mais je ne sais pas s’il a été élu ou pas. Là, je ne suis pas un politicien ; je n’en sais rien. Néanmoins, je sais distinguer le vrai du faux. J’ai suffisamment de bon sens pour savoir que… ?… Alors que cela est juste devant nous, le–l’homme a prouvé, par le F.B.I., qu’on avait truqué les machines pour faire cela… Ce n’est pas l’autre parti qui l’a fait, c’est le–le–le parti de Kennedy qui l’a fait. Pourquoi ? Ça doit être ainsi.

LA STATURE D’UN HOMME PARFAIT     JEFFERSONVILLE IN USA    Dim 14.10.62M

  1. Combien parmi vous se rappellent l’émission télévisée qui présente deux femmes, debout, l’une disait : « Je vais voter pour… » Une femme protestante disait : « Je vais voter pour monsieur Kennedy. »

On a demandé : « Pourquoi ? »

Elle a répondu : « Parce que je pense qu’il est plus intelligent que monsieur Nixon. Il fera un meilleur président. »

Puis, ils ont dit : « Cette femme-ci est catholique. Pour qui allez-vous voter ? »

Elle a dit : « Je suis catholique, catholique romaine, une fidèle catholique. » Elle a dit : « Mais je vais voter pour monsieur Nixon. »

« Pourquoi ? »

Elle a répondu : « Parce que je pense que monsieur Nixon ferait un meilleur président, parce qu’il est plus expérimenté. Il connaît mieux le communisme. » Cette femme a dit un mensonge.

LA DISLOCATION DU MONDE     JEFFERSONVILLE IN USA    Dim 16.12.62

  1. Je pourrais parler de certaines choses ici : la corruption de notre propre politique, eh bien, la politique est vraiment pourrie. J’espère que l’autre soir, vous avez suivi le «monitor», ou plutôt, je pense, cette émission qu’ils ont diffusée à travers la nation, d’une ou deux heures, ici, à Louisville. Et ils donnaient… Ils le font de temps en temps sur différents sujets, et ils en faisaient une au sujet du départ de monsieur Nixon de la politique, quand il a perdu dans la course, la course politique à Los Angeles, ou plutôt en Californie. Et pourrait-il jamais revenir? Et quand on a donné la nouvelle deux ou trois heures après, j’ai suivi cela chez frère Charlie ici, et nous avons suivi cela à la radio, frère Wood et moi, et on a découvert que Nixon, sur toute cette contrée de l’Est, comme le disait l’information, du Mississippi à la Pennsylvanie, il avait battu monsieur Kennedy et que les gens appelaient et s’exprimaient, presque quatre voix contre une. Alors un homme s’est levé et a dit : «Si vous n’aviez pas truqué les machines, il serait passé président.» Vous y êtes. La politique, la tricherie, c’est pourri de tous côtés. Je ne le blâme pas; moi aussi j’aurais levé les mains et permis que ces choses dégoûtantes corrompent. De toute façon, cela marche avec le monde. Mais levez vos mains vers Christ et dites : «Me voici, Seigneur.»

UNE TROMPETTE QUI REND UN SON CONFUS     PHOENIX AZ USA    Lun 14.01.63

  1. Et vous avez entendu l’autre soir Monitor, alors qu’on faisait un sondage dans le pays, depuis le Mississippi, à l’est. Monsieur Nixon avait gagné lors des votes par émission, avec quatre personnes contre une. Comment un tel homme peut-il gagner ? Si c’était monsieur Kennedy, ça aurait été pareil. Je ne suis ni pour un parti ni pour l’autre.

QUE FERAI-JE DE JESUS APPELE CHRIST ?     JEFFERSONVILLE IN USA    Dim 24.11.63M

  1. Nous avons une–une pratique ici, chaque fois que l’un de nous meurt ou quelque chose comme cela, quand bien même là… Je pense qu’en tant que–qu’en tant qu’église américaine, en tant que groupe d’Américains… Le peuple américain avait voté pour monsieur Kennedy comme président. Et c’était… C’est pourquoi nous sommes une démocratie. Je n’avais pas voté pour monsieur Kennedy. J’avais voté pour monsieur Nixon, parce que je connaissais personnellement monsieur Nixon. Et je–je l’aimais et je–et j’avais personnellement voté pour lui, parce que je l’aimais. Mais les gens de ce pays (les Américains), mes compatriotes, avaient voté pour monsieur Kennedy. Et ce qu’ils ont fait, eh bien, c’est entre eux et Dieu, mais c’est ça.

LE MONDE SE DISLOQUE UNE FOIS DE PLUS     SHREVEPORT LA USA    Mer 27.11.63

  1. Monsieur Nixon a fait la remarque la plus distinguée que j’aie jamais entendue de la part d’un président ou d’un vice-président pendant les quelques dernières années, lorsqu’il a dit l’autre jour : « Le problème du peuple américain, c’est qu’il a perdu l’amour et le respect mutuels. » En tant que citoyens américains, nous nous tirons dessus dans la rue ; comment est-ce possible ? Oh ! la la !
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