SOIF – 19.09.1965 TUCSON, AZ, USA
1 Bonsoir, mes amis. C’est un privilège d’être ici ce soir. C’est la deuxième fois que je viens à la Grantway Assembly ici, pour être avec mon cher frère Mack et tout ce bon comité ici, et les chrétiens de différentes églises qui se sont ajoutés au nombre. Frère Lee Vayle, et je viens de rencontrer un frère, ici, qui, un–un ami intime de Frère F. F. Bosworth, il ne savait même pas que Frère Bosworth était parti rencontrer le Seigneur. J’ai dit: “J’ai l’impression d’avoir rencontré l’Élisée qui versait l’eau sur les mains d’Élie”; ils étaient à l’étranger, alors ils n’ont pas su que Frère Bosworth était parti rencontrer le Seigneur, à quatre-vingt-quatre ans.
UN PROCÈS – 12.04.1964 BIRMINGHAM, AL, USA
171 Bien, le Studio Douglas se trouvait là, avec un gros appareil photo. Ils ont dit, ce prédicateur avait dit: «Prenez quelque photo de ce vieil homme; je vais l’écorcher, lui faire la peau et attacher sa peau sur la porte de mon bureau, comme mémorial de la guérison Divine.»
Pouvez-vous imaginer un Chrétien dire cela au sujet d’un autre [Chrétien]? Vous voyez, vos fruits montrent ce que vous êtes. Ainsi, il a pris six clichés. Et il a mis son poing sous le nez de Frère Bosworth, avant qu’il ne commence le débat, il dit: «Prenez-en une comme cela.»
Et ils l’ont prise. Frère Bosworth se tenait simplement là.
DIEU SE CACHE ET SE RÉVÈLE DANS LA SIMPLICITÉ – M17.03.1963 JEFFERSONVILLE, IN, USA
350 Lui, il avait tous les diplômes possibles, alors il pensait qu’il ne ferait qu’une bouchée de Frère Bosworth. Mais, pour ce qui est de la Parole, il ne lui arrivait même pas à la cheville. Voyez? Frère Bosworth savait de quoi il parlait. Beaucoup de personnes de son assemblée, qui sont assises ici, étaient présentes à ce débat. Et voilà.
VOIR DIEU – M09.06.1962 SOUTHERN PINES, NC, USA
1 …nous étions assis ici à discuter, frère Thomas et moi, et frère Rhodes aussi, que j’ai eu le privilège de rencontrer. Vous connaissez notre sens de l’humour …?… ce sur quoi j’ai parlé ce matin, mais je n’ai pas eu le temps de «laisser s’échapper la vapeur». C’est donc le seul moyen que nous ayons de laisser s’échapper la vapeur, en ayant le sens de l’humour. Et ce vieux frère pieux et saint, qui vient tout juste d’aller dans la Gloire, frère F. F. Bosworth, que la plupart d’entre nous connaissons bien, a toujours eu un grand sens de l’humour. J’étais plutôt hésitant face à ça, j’observais et j’écoutais, parce que je veux le «oui, oui» et le «non, non». Lorsque j’ai vu ce vieil homme pieux et son sens de l’humour, et qu’ensuite j’ai vu d’autres grands serviteurs, frère Vayle et ces autres frères, et tous les autres, et quand ils se réunissaient, ils avaient ce sens de l’humour, et je me disais: «Eh bien, peut-être que ce n’est qu’une tradition en ces derniers jours parmi les ministres.» Puis j’ai lu dans Le concile avant Nicée et Les pères de Nicée, et ces autres livres, sur quelques-uns de ces serviteurs de Christ, dans les années passées, et ils avaient le sens de l’humour. Et vous savez, je suis finalement parvenu à découvrir que Dieu a un sens de l’humour.
2 En parlant de communion fraternelle, je pensais à ce que frère Bosworth avait coutume de dire. Il me disait: «Frère Branham, tu sais ce qu’est la communion fraternelle? [Fellowship, en anglais. — NDT]
J’avais répondu: «Oui, je crois le savoir.»
Il avait dit: «Ce sont deux compagnons [fellow] dans une même barque [ship].» Là, vous pouvez être très près l’un de l’autre, vous savez; donc, c’est de la communion fraternelle. Et c’est certainement une époque formidable de communion fraternelle. Comme je prends de l’âge, je n’ai pas l’esprit aussi vif que lorsque j’étais un jeune homme, comme frère Parker, ici. Il racontait dernièrement qu’il disait toujours à sa femme qu’elle prenait de l’âge alors que lui rajeunissait, et ainsi de suite. Et j’essaie cela chez moi, mais ça ne marche pas très bien. Mais quand toutefois je lui ai dit qu’on n’avait que dix ans de différence… Je lui ai dit: «Fais dix autres années, et au lieu de pousser ta bible en avant comme cela, tu seras obligé de regarder au travers de lunettes. C’est comme ça quand on prend de l’âge.»
LA REINE DE SÉBA – E19.01.1961 BEAUMONT, TX, USA
2 Et Frère Bosworth était avec nous. Il s’en est allé par-delà la mer maintenant, de l’autre côté. Je suis allé le voir, juste avant de partir. Il avait, oh! il allait sur ses cent ans. Il revenait juste de l’Afrique, où nous étions missionnaires ensemble. Je lui ai dit, quand il était… rentré en hâte chez lui. Et là reposait le petit patriarche, allongé là, mourant: «Char d’Israël et sa cavalerie!» Je pense que s’il y avait quelqu’un qui avait le…?… C’était F.F. Bosworth.
C’était un grand homme de Dieu, un des premiers. Il est venu ici au Texas, et il est resté dans une ville pendant dix ans, établissant sept églises; et avec un réveil–qui ne s’est jamais arrêté, nuit… tous les jours pendant dix ans; tous les ans chaque nuit quelque part, tenant une réunion pour… ici au Texas.
L’avez-vous entendu lorsqu’il est parti? Environ une heure avant qu’il ne s’en aille pour traverser–pour traverser le chemin… il s’était endormi pendant un moment, et il s’est levé. Il a regardé dans la pièce, et a dit: «Mère.» Et pendant une bonne heure, ou peut-être deux, il a serré les mains d’amis qu’il avait conduits à Christ, et qui s’en étaient allés depuis cinquante ans–et qui avaient traversé la barrière de l’autre côté. Il s’est recouché et a baissé ses mains; il les a jointes comme cela, et il est allé rencontrer Dieu.
3 Je n’oublierai jamais ses dernières paroles pour moi. Il a dit: «Hâtes-toi, Frère Branham. Vas rapidement outre-mer. Là où les champs sont ouverts.» Et il a dit…
J’ai dit: «Frère Bosworth, tu n’es pas malade?»
Il a dit: «Pas quelqu’un de bien malade.»
Il a dit: «Mon temps est simplement venu maintenant. J’ai vécu ma vie.»
J’ai dit: «De toute ta longue vie pour Christ quel a été ton plus grand moment, Frère Bosworth?»
Il a dit: «Juste maintenant.»
Et j’ai dit: «Alors réalises-tu que tu t’en vas?»
Il a dit: «Oui, mais Frère Branham, tout ce que j’ai vécu pendant ces soixante années passées a été pour Christ, et d’une minute à l’autre, Il viendra à la porte pour me prendre à la maison.» C’est ce que je recherche.
LES FILS DE DIEU MANIFESTÉS – 18.05.1960 JEFFERSONVILLE, IN, USA
220 Si jamais un homme a représenté le pentecôtisme et a été un vrai apôtre, c’est bien F. F. Bosworth, – propre, honnête, le véritable Évangile, vous voyez, – c’est bien Frère Bosworth. Et quand je l’ai serré dans mes bras, et que je me suis écrié: “Mon père! mon père! Chars d’Israël et leur cavalerie!”
221 Il a dit: “Fiston, reste sur le champ de travail.” Il a dit: “Va là-bas, sur les champs de mission, avant certains des jeunes, si tu peux, avant qu’ils y fassent entrer plein de fanatisme. Apporte-leur ce véritable Évangile que tu as, fiston.” Il a dit: “Ton ministère n’a pas encore commencé, en comparaison de ce qu’il sera.” Il a dit: “Tu es un Branham tout neuf.” Il a dit: “Tu es jeune, fiston.”
J’ai dit: “Frère Bosworth, j’ai quarante-huit ans.”
227 Et une heure avant, deux heures avant sa mort… environ deux mois plus tard, – j’avais cru qu’il était en train de mourir à ce moment-là, – mon épouse est venue le voir (il avait toujours eu beaucoup d’estime pour elle), lui et Mme Bosworth. Et il y avait environ deux heures qu’il était là, endormi. Il s’est levé, il a regardé, et il a sauté du lit. Il a dit: “Maman, mais, il y a des années que je ne t’ai pas vue! Papa! Frère Jim, mais,” il disait, “voyons voir, vous êtes un de ceux qui se sont convertis au Seigneur quand je suis allé à Joliet, dans l’Illinois.” Il était mort depuis cinquante ans. Voyez? Oui! Il disait: “Vous êtes Soeur Une telle. Oui, je vous ai conduite au Seigneur à–à la réunion de Winnipeg. Oui. Tiens, voilà Soeur Une telle. Je ne vous ai pas vue… Oui, voyez-vous, vous êtes venue au Seigneur à tel et tel endroit.” Et pendant deux heures consécutives, il a serré la main à des gens qu’il avait conduits au Seigneur. Ensuite il est revenu à sa place, il s’est couché, il s’est croisé les mains, et ça y était. Est-ce que Frère F. F. Bosworth est entré dans le Pays que Jésus m’a permis de voir l’autre nuit? Si c’est le cas, il est là-bas un jeune homme ce soir. Que Dieu donne le repos à son âme. Et puissé-je vivre toujours fidèlement, si bien que j’entrerai dans ce Pays-là. Et puissé-je être un–un serviteur toujours fidèle à Christ!
QUESTIONS ET RÉPONSES SUR LES HÉBREUX, PARTIE 2 – 02.10.1957 JEFFERSONVILLE, IN, USA
304 Et maintenant, le prochain week-end, le Seigneur voulant, je dois aller à Miami. Mon vieil ami, le Frère Bosworth, retourne à la maison, et il a presque cent ans maintenant. Et il m’a appelé et m’a dit: «Frère Branham, venez me voir immédiatement, je veux vous dire quelque chose avant de partir.»
Et il… Eh bien! je pense qu’il veut prier pour moi, et simplement m’imposer les mains avant de partir, vous savez.
305 Et je–j’espère pouvoir terminer mes jours avec une réputation pareille à celle de F.F. Bosworth. De tous les hommes que je connaisse au monde, chaque homme que j’ai pu rencontrer dans le monde, je n’ai jamais rencontré un homme auquel j’avais tellement envie de ressembler comme F.F. Bosworth; en tant–en tant que serviteur de Dieu, j’entends. Je n’ai jamais entendu une personne, dans le monde entier, où que ce soit, déclarer au sujet de F.F. Bosworth, autre chose que: c’est «un Chrétien» et «un véritable Frère».
COMMENT L’ANGE EST VENU À MOI, ET SA COMMISSION – 17.01.1955 CHICAGO, IL, USA
188 Le vieux Frère Bosworth s’est avancé sur l’estrade, comme un vieux diplomate, vous savez. Il avait recopié des… Il avait six cents promesses différentes de la Bible qu’il avait recopiées. Il a dit: “Bon, Docteur Best, si vous voulez bien venir ici prendre une seule de ces promesses et en démontrer la fausseté par la Bible. Toutes ces promesses-là, qui se trouvent dans la Bible, déclarent que Jésus-Christ guérit les malades aujourd’hui. Si vous pouvez prendre une seule de ces promesses, et, par la Bible, la démentir par la Bible, je m’assiérai, je vous serrerai la main, je dirai: ‘Vous avez raison.’”
ISRAËL À LA MER ROUGE #1 – 26.03.1953 JEFFERSONVILLE, IN, USA
174 Mon cher organisateur, Dieu bénisse son coeur, le vieux frère Bosworth, là-bas à Durban, en Afrique, ce soir il est en train de prier pour moi afin que j’aille là-bas. Il était là-bas au Texas, avec son dos lacéré et laissant des marques, lorsqu’ils menacèrent de lui trancher la gorge, sans mentionner le reste. Il marcha avec un poignet cassé, et essayait de faire sa valise. Battu pour avoir prêché le baptême du Saint-Esprit.