IL EST CONVENABLE QUE NOUS ACCOMPLISSIONS TOUTE JUSTICE JEFFERSONVILLE IN USA Dim 01.10.61M
31. Et aussi, du reste, les rivières qui descendaient là nous ont coupé la route et nous n’avons pas pu rentrer dans la région où nous voulions aller chasser l’ours grizzly.
Ce M. Southwick, c’est cela, Southwick, était le guide, et il… Et j’étais avec un jeune prédicateur, Eddie Byskal. Et donc son garçon… M. Southwick avait un–un jeune frère ayant entre 25 et 30 ans qui était sérieusement frappé d’épilepsie.
LES SIGNES DE SA VENUE CLEVELAND TN USA Sam 07.04.62
6. En Afrique, je mangeais… quand ils… Je ne vois pas comment j’ai pu y arriver. Dieu a dû tout simplement m’aider, c’est tout. Mais vous devez le faire, de toute façon. Vous voyez ? Et les gens qui font donc l’oeuvre missionnaire passent par beaucoup de choses désagréables. Mais nous sommes obligés d’être tout pour tout le monde, afin que nous puissions gagner quelques-uns à Christ.
Et j’avais vraiment pitié d’Eddie, et c’était pareil avec ses enfants… et le jeune Eddie Byskal avec son épouse, une aimable femme qui vient d’une très bonne famille. Son père est propriétaire d’une grande entreprise, il en est le président et tout, cependant ils sacrifient leur vie comme cela. Il faut certainement que ce soit Dieu pour faire cela, Frère Littlefield. C’est vraiment ça un sacrifice.
MONSIEUR, NOUS VOUDRIONS VOIR JESUS PORT ALBERNI BC CANADA Mar 24.07.62
2. Il n’y a pas longtemps j’ai eu le privilège d’être avec votre pasteur, frère Byskal. Et après, nous avons eu une–une petite partie ensemble, une petite partie de chasse dans le nord de la Colombie-Britannique, et il m’a dit qu’il faisait l’oeuvre missionnaire auprès des Indiens par ici dans la–dans l’île. Et, oh! j’ai toujours désiré prêter main forte à quelqu’un qui essaie d’aider le peuple indien. J’ai eu quelques expériences aux Etats-Unis en prêchant aux Indiens : les Navajo, les Apaches et beaucoup d’autres là-bas, et j’ai trouvé une foi vraiment merveilleuse ; et frère Eddie n’est soutenu par personne. Et j’ai dit : «Peut-être qu’à un moment donné j’aurais l’occasion de venir vous prêter main forte, Frère Eddie. »
Il a dit : «J’en serais très heureux, Frère Branham. »
UN TEMOIGNAGE EN MER PORT ALBERNI BC CANADA Jeu 26.07.62
91. Eh bien, ces frères pêchent à la seine dans différentes parties du grand lac de Dieu. Eh bien, je suis venu ici dans cette petite ville pour entrelacer mon filet avec les leurs, afin que nous puissions les jeter plus loin, loin d’un autre coin ou d’une communauté, jeter là loin et tirer. Ce sont tous nos filets mis ensemble. Ne voyez-vous pas ? Nous sommes frères. Nous pouvons–nous pouvons être en désaccord. Si je viens poser des questions à frère Byskal ici sur quelques points de la théologie–de la théologie, il pourrait… nous pourrons être en désaccord. Et je n’ai jamais rencontré un homme plus brave dans ma vie. Voyez ? Nous pourrons être en désaccord. Mais… Mes enfants là derrière… J’en ai trois à la maison. Je vais acheter une crème glacée ; je dois en acheter trois sortes différentes. L’un veut avoir une crème glacée à la vanille, l’autre veut en avoir à la fraise, et l’autre veut en avoir au chocolat. Eh bien, quand je viens avec la crème glacée, cela a l’air d’un arc-en-ciel. Mais regardez. Tout cela, c’est de la crème glacée. Le parfum ne compte pas. Nous y sommes, frères. Je… ?.. C’est vrai. Nous mangeons tous de la crème glacée.
NOUS VOUDRIONS VOIR JESUS VICTORIA BC CANADA Ven 27.07.62
2. Nous… Je venais d’apprendre que nous sommes arrivés ici juste au moment où plusieurs organisations tiennent une (je pense)–une convention. Je regrette que nous soyons arrivés à ce moment, parce que je sais ce que vous ressentez. Je sais ce que les frères ressentent du fait d’être… que quelque chose de ce genre ait lieu juste au moment où ils tiennent leur convention. Et frère Eddie Byskal, qui est mon frère et mon ami, c’est la seule fois où nous pouvons être ici, en étant juste de passage. Et c’est pour cette raison qu’ils ont voulu que cela soit très expéditif, juste trois services, ensuite nous continuerons notre voyage.
ETRE PERSEVERANT VICTORIA BC CANADA Dim 29.07.62
3. Maintenant, je remercie frère Byskal, Eddie ; tel que je le connais, c’est un très précieux jeune homme. Je suis vraiment tombé amoureux de ce jeune homme lorsque je l’ai rencontré à–là à Dawson Creek. La première fois j’étais à Grande Prairie, mais lui était à Dawson Creek en ce temps-là, et je l’ai rencontré là-bas. Et il m’a dit qu’il était missionnaire chez les Indiens.
Et j’ai dit : « Eddie, je–je vais revenir au Canada un de ces jours, et je passerai par là voir vos amis. »
Il a dit : « C’est vraiment bien. » Alors il m’a dit, il a dit : « Quelques frères, a-t-il dit, pourraient passer par Victoria, ils vont intervenir momentanément au cours des réunions qui se tiennent là-bas. » Et–et il a dit : « Mais ils vont tenir une réunion par là, une convention. »
ETRE PERSEVERANT VICTORIA BC CANADA Dim 29.07.62
102. Frère Byskal, que Dieu vous bénisse. Je viens à peine de vous reconnaître, de me rendre compte que vous êtes là, le papa de frère Eddie. Que Dieu vous bénisse. Que la grâce éternelle de Dieu demeure avec vous jusqu’à ce que nous nous reverrons. Et à ce moment-là nous pourrons dire : Au revoir ! Au revoir !
CONFIRMANT SA PAROLE JEFFERSONVILLE IN USA Dim 16.08.64
11. Ce matin, je suis heureux d’avoir là, quelque part dans l’assemblée, un–un très précieux ami à moi, le frère, le révérend Eddie Byskal, son épouse, ainsi que leurs enfants. Je pense qu’ils sont à la réunion ce matin. Eddie, es-tu là ? Je pensais que tu… Bien, peut-être qu’il n’a pas pu venir. Frère, oh ! oui, là… Eh bien, ce n’est pas là le coin des amen, Eddie. Tu es le bienvenu ici à l’estrade à côté de nous, à côté des prédicateurs, si tu veux bien venir. Et puis, nous avons été…
12. Frère Eddie était là quand le Seigneur m’a donné la vision de l’ours et du caribou. Le… Combien se souviennent de cela, quand je vous en avais parlé ? Très bien, il était là. C’est lui le jeune homme qui portait la chemise à carreaux, frère Eddie Byskal, et il se tenait là où… Et je–je leur avais demandé si l’un d’eux avait une chemise à carreaux. « Non », personne n’en avait. J’ai dit : « Eh bien, il se peut… Il faut qu’il y ait quelqu’un avec une chemise à carreaux. Il y aura un–un gros grizzly argenté ainsi que–ainsi qu’une espèce d’animal qui a des cornes de quarante-deux pouces [106 cm], comme ceci, ayant l’apparence d’un cerf. » Et j’avais dit cela ici environ six mois avant que cela arrive, vous savez, à peu près depuis si longtemps, oh ! plus tôt que ça au cours de l’année.